Les Dossiers th�matiques
Informatique
Source : UL6S
Les technologies de l'information ont envahi notre vie quotidienne et professionnelle.
Il est aujourd'hui peu d'entreprises qui pourraient fonctionner sans elles, qu'elles utilisent un simple traitement de texte ou une gestion compl�tement int�gr�e de la production, en passant par les nombreux automatismes, la t�l�phonie, les moyens de communication �lectronique.
La nouvelle �conomie, ou e-business, a pu �merger gr�ce � l'av�nement de technologies Internet mettant en commun les ressources dans un r�seau unique � l'�chelle mondiale. Nul doute que ces transformations socio-�conomiques vont largement toucher les entreprises du XXIe si�cle.
Quel impact vont avoir ces technologies sur le management de la qualit� ?
Examinons cette question selon six axes majeurs, class�s en allant de l'environnement (dynamique) de l'entreprise vers ce qui devrait �tre son noyau stable (plus p�renne).
Rares sont ceux qui n�aiment pas les M&M�s�. Plus nombreux sont ceux qui n'aiment pas les statistiques. Cet article est une recette pour rendre les statistiques plus � app�tissantes �, gr�ce aux M&M�s !
En pesant quelques sachets de M&M's et en comptant leur contenu, vous collecterez des donn�es tr�s utiles. Les tests statistiques sur ces donn�es vous permettront de r�pondre aux questions sur le poids, la couleur, la qualit� et la quantit�. �videmment, si vous vous d�lectez � l�id�e de croquer les confiseries � l�issue des tests, vous serez tr�s motiv�s par cet exercice�
Ce dossier � enti�rement �t� r�alis�par un Michelle Paret - Product Manager, Minitab Inc.
Ressources humaines
Source : IDECQ
La loi n� 2004-391 relative � la � formation professionnelle tout au long de la vie � du 4 mai 2004, permet � tout salari� de suivre une formation tout en percevant des compensations financi�res de la part de son employeur.
Le gouvernement a voulu ainsi enrichir les lois, ou accords, existants concernant le syst�me de formation fran�ais. En effet, le 9 juillet 1970, un accord relatif � la formation et au perfectionnement a �t� promulgu� et remplac� plus de 30 ans apr�s par l�accord national interprofessionnel du 3 juillet 1991 relatif � la formation et au perfectionnement professionnels. Les principales dispositions de ce dernier concernaient les jeunes, le Cong� Individuel de Formation (CIF) ainsi que le plan de formation.
Ainsi, avant l�arriv�e de la nouvelle loi, le salari� pouvait suivre des formations dans le cadre d�un plan de formation ou celui d�un CIF mais il n�avait pas un v�ritable DROIT � la formation. C�est justement ce DROIT que la loi du 4 mai 2004 a instaur� pour tous les salari�s.
Par cons�quent, comment s��tablit cette loi ? Quel est ce nouveau DROIT ? Et quelles sont les diverses r�actions des personnes concern�es ?
Apr�s avoir �tudi� la loi dans sa globalit�, nous nous int�resserons donc plus pr�cis�ment au Droit Individuel � la Formation et aux opinions qui en d�coulent.
Ce dossier a �t� r�alis� par un groupe d'alternants de la 1�re promotion RH (Ann�e 2004-2005) :
BAUDIN Manon, GUTEJ Aur�lie, HOSPITAL C�line, PICARLE Val�rie, QUIRIEL La�titia,VIGNAL Sophie
Deux anciennes v�rit�s permettent de mieux comprendre le benchmarking et son r�le. 500 ans avant J-C., Sun Tzu, g�n�ral chinois, �crivait : � Si tu connais ton ennemi et toi m�me, tu n�auras jamais peur du r�sultat de tes prochaines batailles �.
L�autre v�rit� nous vient du mot japonais dantotsu qui signifie � la mani�re d��tre le meilleur des meilleurs �.
Bas� sur ces deux v�rit�s, le benchmarking a comme objectifs non seulement de regarder et de comprendre le monde interne de l�entreprise mais surtout d��valuer constamment le monde ext�rieur et de s�y comparer. [...]
Dossier r�alis� par Colette ROCHON et Guillaume ROMIER (11 �me promotion) de l'Ecole de la qualit� (IDECQ) de St-Etienne.
L��volution constante des exigences clients impose aux entreprises une �coute permanente avec ceux-ci pour les satisfaire au mieux.
Notre formation en alternance de Technicien Animateur Qualit� nous a permis de constater que les entreprises se doivent de placer le client au c�ur de leur syst�me.
Plusieurs projets nous ont �t� propos� via l�IDECQ,et le choix de la th�matique � Ecoute client � a enthousiasm� plusieurs d�entre nous. De ce fait, un groupe c�est form� pour exploiter et travailler sur ce sujet.
De l�, nous avons constat� que plusieurs type d��coute et divers outils �taient mise en �uvre pour capter et satisfaire les attentes des clients.
C�est donc ces points que nous avons d�velopper, soutenus par des visites d�organisme de diff�rents secteurs d�activit� prospect� pendant l�ann�e.
Ce dossier � enti�rement �t� r�alis� un groupe d'alternants de la 10�me promotion (Ann�e 2002-2003) de l'Ecole de la qualit� (IDECQ) de St-Etienne :
Marl�ne COMTE, Jacques JASSERAND, Brice RICHAUD, L�a SALAH, Moufida TRIKI
Les besoins en m�trologie �voluent tr�s vite. Plusieurs causes sont � l'origine de ce ph�nom�ne.
Il y a tout d'abord le d�veloppement de l'assurance qualit�, aussi bien dans les activit�s de production que dans les laboratoires d'analyses et d'essais, avec l'impact des reconnaissances que constituent la certification et l'accr�ditation.
Il y a �galement la tendance � l'externalisation de la gestion du parc d'instruments de mesure qui va du conseil pour l'optimisation de la gestion du parc jusqu'� l'externalisation compl�te de l'activit� m�trologique.
L'importance des essais et des analyses dans les �changes mondiaux a conduit � multiplier les m�canismes de reconnaissance r�ciproque, ce qui conduit � une harmonisation des pratiques, entra�ne aussi de profonds bouleversements.
Nous allons essayer au travers de ce dossier de vous donner quelques �claircissements par rapport � l'organisation de la m�trologie en France, � la ma�trise de la m�trologie et la fonction m�trologique en entreprise. [...]
Ce dossier � enti�rement �t� r�alis� par les �l�ves de l'Ecole de la qualit� (IDECQ) de St-Etienne
Agroalimentaire
Source : Natacha Debelvalet - Consultant Qualit�
La norme internationale ISO 22000 sp�cifie les exigences relatives � un syst�me de management de la s�curit� des aliments (SMSA) lorsqu�un organisme a besoin de d�montrer son aptitude � ma�triser les dangers li�s � la s�curit� des aliments afin de garantir en permanence la fourniture de produits s�rs r�pondant aux exigences convenues avec les clients et celles des r�glements applicables en la mati�re.
La norme ISO 22000 reconna�t que la s�curit� des denr�es alimentaires ne peut �tre assur�e que par les efforts combin�s de tous les acteurs de la cha�ne alimentaire ...
Management
Source : El Ammari Yassine - Etudiant DESS
Le tableau de bord renvoie � des finalit�s diff�rentes, mais compl�mentaires. Une repr�sentation commun�ment r�pandue veut que l�on assimile les tableaux de bord � des outils de contr�le, alors qu�ils sont aussi des outils d�aide � la d�cision et de pilotage.
Trop souvent, le tableau de bord est utilis� comme un compte rendu d�activit�, permettant de suivre et d�assurer une gestion en continu, La complexit� croissante des champs et des domaines d�intervention, les contextes mouvants et fortement �volutifs auxquels sont confront�s les services, impliquent de redonner au tableau de bord une dimension plus large, afin d�en faire un v�ritable outil d�aide � la d�cision. Il s�agit d�aller au del� d�une logique de planification a priori et de constat a posteriori, pour b�tir un dispositif au service des enjeux de l�organisation, tourn� vers la ma�trise de l�action et de l�anticipation, afin d�appr�hender les �volutions en cours, au travers d�informations s�lectives et appropri�es. En effet, tout manager doit disposer d�informations fiables et r�centes pour pouvoir faire preuve de r�activit�, et fonder sa d�cision sur des �l�ments objectifs, et ce, � quelque niveau que s�exerce la d�cision.
Management
Source : Karim HAMADACHE (Consultant en management)
Le leadership, la gestion du changement et la communication sont si intimement li�s qu�il n�est vraiment pas possible de r�ussir les deux premiers sans des comp�tences de communication bien d�velopp�es. Une partie de la r�ussite dans la gestion du changement organisationnel r�side dans la capacit� du manager � choisir les bons canaux de communication qui correspondent au contexte et qui permettent d'exprimer les messages correctement.
Management
Source : Karim HAMADACHE (Consultant en management)
Que vous soyez gestionnaire, superviseur, cadres ou que vous ayez tout autre titre vous procurant un pouvoir formel (leaders de droit) au sein d'une organisation, vous pouvez tirer d'�normes avantages en d�veloppant des leaders informels (leaders de fait) d�j� existants dans votre unit� de travail. Alors que des leaders informels peuvent jouer contre votre autorit� et emp�cher la r�alisation des objectifs de l'organisation. [...]
Management
Source : Karim HAMADACHE (Consultant en management)
Bien que les lieux de travail et les styles de management aient beaucoup chang�s dans les derni�res d�cennies, les attitudes de commandement et de contr�le en management reste dominantes dans de nombreuses entreprises. Cette approche du management signifie que les managers disent aux employ�s exactement quoi faire, quand le faire et comment. Le manager poss�de toutes les r�ponses et r�sous tous les probl�mes.
Il n'est donc pas surprenant que beaucoup de gens trouvent cette approche d�motivante, et que la productivit� li�e � ce style de management soit jug�e insatisfaisante. Personne n�aime qu'on le lui dise exactement ce qu'il doit faire [...]
Management
Source : Karim HAMADACHE (Consultant en management)
Il n'y a pas de comp�tence plus critique pour votre r�ussite personnelle et professionnelle en tant que manager que d'apprendre � d�l�guer. Mais d�l�guer avec succ�s c�est beaucoup plus qu�une simple distribution d�affectations. C'est plus un exercice de compr�hension et d'acceptation de vos propres forces et de vos limites.
Dans un monde o� le temps constitue la ressource la plus rare, nous devons choisir quelles activit�s faire nous-m�mes et lesquelles il est pr�f�rable de d�l�guer. Aucun de nous ne peut �tre expert en tout, non pas en raison des limites de nos capacit�s intellectuelles, mais plut�t parce que nous manquons d'exp�riences sp�cifiques et de v�cu. Nous devons apprendre � accepter ce fait et � vivre avec.
Risques et s�curit�
Source : Qualit� Online
Le stress professionnel appara�t depuis plusieurs ann�es comme un des risques majeurs auquel les organisations et entreprises doivent faire face.
Au del� des probl�mes de qualit� du travail et de qualit� des produits et prestations livr�s, des �tudes scientifiques ont mis en �vidence des liens entre des situations de travail stressantes et l'apparition de probl�mes de sant� mineurs ou de maladies plus s�rieuses, et il est probable que le stress contribue � la survenue de certains accidents du travail.
Ce dossier a pour objectif de faire le point sur l'identification, l'�valuation et la pr�vention du stress au travail.
Outils
Source : Bernard MURRY - XL Consultants XL formation
Le Lean Six Sigma est l�application de deux concepts : le Lean et le Six Sigma.
? Le Lean : vise � l��limination des t�ches sans valeur ajout�e, des pertes, la simplification des processus en augmentant la fluidit�, la flexibilit�, l�agilit� dans un objectif d�accro�tre la valeur pour le client (valeur d�finie par le client) et ainsi contribuer � l�am�lioration des performances de l�entreprise.
? Le Six Sigma : vise quant � lui � diminuer la variabilit� des processus afin de les fiabiliser, les rendre stables et pr�visibles, s�assurer de la reproductibilit� � parfaite � du processus pour tendre vers le z�ro d�faut et la satisfaction des clients.
? Le Lean six Sigma : c�est la fusion des deux concepts qui relient les notions de productivit� (le Lean) et la qualit� (le Six Sigma).
Outils
Source : Hicham Hicham (Responsable projet)
Pourquoi des stocks de produits finis ?
Pour satisfaire une demande fluctuante sans exc�s de capacit�: La demande �tant fluctuante, soit on d�cide de produire sans stock, ce qui demande une grande flexibilit� (heures suppl�mentaires, int�rimaires...), soit on lisse la demande de mani�re � produire de mani�re r�guli�re en utilisant les stocks comme tampon.
Pour compenser l��cart entre le d�lai commercial et le cycle de production.
Pour compenser l�incapacit� � pr�voir exactement les ventes futures.
Outils
Source : Hicham ELHAIL
Les produits standards fabriqu�s en tr�s grande quantit� sont de moins en moins convoit�s par les consommateurs. En effet, ces derniers pr�f�rent acheter un produit d�excellente qualit�, correspondant parfaitement � leurs besoins � un prix abordable.
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Cette nouvelle r�alit� oblige les entreprises � passer d�une production de masse, � bas prix, destin�e � un client standard, � une production de qualit� de plus en plus diversifi�e.
De surcro�t, la globalisation des march�s exige de ces m�mes entreprises qu�elles r�duisent leurs co�ts de fabrication, afin d�offrir un prix de vente concurrentiel et qu�elles acc�l�rent la commercialisation de leurs nouveaux produits. Ainsi, afin de r�pondre aux exigences des clients, les entreprises tentent de rendre plus flexibles et plus efficientes leurs m�thodes de production. Pour ce faire, plusieurs ont adopt� le � juste � temps � appel� JAT.
Outils
Source : ELHAIL Hicham
Le SMED est une m�thode d'organisation qui cherche � r�duire de fa�on syst�matique le temps de changement de s�rie, avec un objectif quantifi�. (Norme AFNOR NF X 50-310).
Single Minute Exchange of Die = Echange d'outil en moins de 10 minutes.
Single Minute signifie que le temps en minutes n�cessaire � l'�change doit se compter avec un seul chiffre.
Le SMED est n� en 1970 dans l�univers industriel comp�titif de TOYOTA, sous l�impulsion de S.SHINGO.
S.SHINGO d�couvre le r�le pivot des temps de changement de s�rie dans l'obtention de la flexibilit� industrielle globale et entame un combat syst�matique contre les id�es re�ues en la mati�re.
D�veloppement durable
Source : Anna PASCO
La consommation des entreprises et des habitants de notre plan�te nuit chaque jour un peu plus � l�environnement et d�truit progressivement notre milieu de vie : la pollution tue au quotidien. Elle a des cons�quences environnementales terribles, et bien que l�extinction de l�esp�ce humaine semble inexorable, nous ne faisons rien pour la retarder, nous ne faisons rien non plus pour pr�server les g�n�rations futures. D�autre part, des probl�mes �conomiques et sociaux graves, tels que le commerce illicite des armes ou encore la r�mun�ration al�atoire des petits producteurs, n�ont pas encore �t� r�solu. C'est ainsi qu'au fil des ann�es, l��thique est devenue un terme � la mode, tr�s utilis� dans notre soci�t� et sp�cialement dans le milieu du marketing. Concr�tement, l�achat �thique consiste � acheter des produits fabriqu�s �quitablement, par des entreprises qui agissent �quitablement, c�est � dire sans nuire et sans exploiter les hommes, les animaux ou l�environnement.
Agroalimentaire
Source : Yassine EL AMMARI
Lors de l'embauche � l�entreprise, toute personne affect�e au travail et � la manipulation des produits est soumise � un examen m�dical, par le m�decin conventionn� de la soci�t�. Celui-ci d�livre un certificat m�dical � toute personne saine et assure son suivi m�dical au moins une fois par an. Au besoin, notamment pendant les visites de suivi, il fait �galement de la sensibilisation aux r�gles d�hygi�ne corporelle et vestimentaire.
La responsable hygi�ne est charg�e de la sensibilisation de toute personne nouvellement embauch�e aux r�gles d�hygi�ne � respecter. Cette sensibilisation est refaite r�guli�rement et autant que n�cessaire, soit en groupes, soit pour la totalit� du personnel, sous la supervision du responsable qualit�.
Par ailleurs, des �criteaux sont placard�s � divers endroits strat�giques de l�unit� (vestiaires, entr�e de l�entreprise, cantine, salles de travail,�) pour rappeler intuitivement au personnel toutes les r�gles d�hygi�ne � respecter ...
Management
Source : Anna Pasco
Le Management Participatif ou Coop�ratif allie � la fois le Management (gestion des hommes et des op�rations) et la Participation (partage cons�quent entre les acteurs de l'entreprise dans les prises de d�cisions, la transmission des comp�tences, la responsabilisation, l'autonomie...). C'est dire son importance sur le travail au quotidien et sur la marche de l'entreprise. Il s'agit donc d'une forme dite "�volu�e" de gestion du potentiel humain dans l'entreprise...
Il existe un certain nombre d'outils de planification, qui se diff�rencient essentiellement par leur repr�sentation graphique et leur type de liaisons ente t�ches ou �v�nements.
L'outil PERT (Program of Evaluation and Review Technique) ou technique d'�tablissement et de remise � jour des programmes, cr��e en 1957 pour l'US Navy, n'utilise que des liaisons directes (fin, d�but) non explicit�es, exprim�es implicitement dans des �tapes, et repr�sent�es graphiquement par un diagramme fl�ch�.
G�n�ralit�s
Source : Damien Ferrazzi
L��valuation des co�ts est faite pour agir, c'est-�-dire pour les ma�triser. C�est donc un facteur de d�veloppement de l�entreprise et au minimum de survie.
Le co�t repr�sente la meilleure approche possible en termes �conomiques de la valorisation d�un effort de transformation ente deux �tats (des mati�res brutes au produit fini).
Management
Source : William A. Sahlman
Le business plan est un document indispensable pour tout entrepreneur � la recherche d�un financement pour son projet. Il permet aux investisseurs de juger des chances de r�ussite d�une entreprise et donc de l�engagement ou pas dans son financement. Recevant de plus en plus de demandes de financement, les investisseurs accordent une grande importance � ce document qui doit leur donner les informations n�cessaires sur le porteur du projet, l�opportunit� poursuivie, le contexte et les risques/gains. Cet article se propose de donner une structure type � suivre pour la r�daction d�un business plan. L�auteur nous fait partager sa longue exp�rience comme entrepreneur, investisseur et professeur de finance entreprenariale. L�article est �crit dans un style tr�s fluide, qui n�est pas sans rappeler celui de Peter F. Drucker, tr�s peu acad�mique, mais fid�le � l�esprit de la Harvard Business Review, avec le vocabulaire du monde des affaires et du capital risque. L�auteur donne une structure g�n�rique du business plan mais prodigue aussi des conseils pratiques pour sa r�daction. Enfin, il met l�accent sur le processus d��laboration du business plan comme un travail de r�flexion qui doit avant tout �clairer les entrepreneurs sur les choix � prendre et la strat�gie � suivre pour la r�ussite de l�entreprise.
Risques et s�curit�
Source :
Le Comit� d'hygi�ne, de s�curit� et des conditions de travail, plus connu par le sigle CHS-CT, est en France une institution repr�sentative du personnel au sein de l'entreprise.
C'est un organisme sp�cialis�, �lu par un coll�ge compos� de tous les �lus titulaires de l'entreprise (d�l�gu�s du personnel et comit� d'entreprise). La loi impose aux entreprises comptant plus de 50 salari�s la cr�ation et l'organisation d'un CHS-CT. Sa r�glementation a �t� codifi�e dans les art. L. 236-1 � L. 236-13 du code du travail fran�ais . Les �tablissements publics de sant� et les �tablissements sociaux et m�dico-sociaux disposent aussi de CHS-CT.
La personnalit� juridique, qui fait du CHS-CT une personne morale, n'est pas pr�vue par les textes mais lui a �t� reconnue par un arr�t de la Cour de cassation du 17 avril 1991.
Management
Source : Karim Hamadache
L�objet du pr�sent dossier portera sur la relation entre les concepts de d�veloppement des comp�tences, Knowledge Management et E-learning. Il s�agit plus pr�cis�ment d�examiner le r�le du d�veloppement des comp�tences dans la convergence du Knowledge Management et du E-learning. Nous commencerons par examiner la notion de comp�tence du double point de vue de la strat�gie d�entreprise et de la gestion des ressources humaines, pour voir la place importante qu�occupe ce concept dans la science manag�riale. Nous verrons ensuite, en quoi le d�veloppement des comp�tences repr�sente un enjeu majeur pour les courants du Knowledge Management et du E-learning et comment il permet leur convergence. Enfin, nous terminerons par un survol des difficult�s que pose l�introduction des dispositifs Knowledge Management et E-learning en tant que syst�mes sociotechniques complexes et en tant qu�inducteurs de changements.
G�n�ralit�s
Source :
Lorsque des entreprises en comp�tition parviennent � fournir des services de qualit� �quivalente et � des co�ts comparables, ce qui fait la diff�rence c'est leur capacit� � d�celer l'�volution des besoins pour s'y adapter avant les autres. Il ne suffit donc pas de ma�triser la qualit� et de l'am�liorer pour fid�liser les clients. Une entreprise peut avoir des clients satisfaits et pourtant dispara�tre. Les utilisateurs de la r�gle � calcul �taient tous tr�s satisfaits au moment de l'invention de la calculette [...]
Aux Etats-Unis, vers 1985, Motorola met au point les outils six sigma. La m�thode est alors d�velopp�e
par un certain nombre de soci�t�s ( Texas Instruments, Allied Signal mais aussi ABB en Suisse ).
En 1995, G�n�ral Electric est la premi�re entreprise � appliquer cette d�marche � tous les niveaux de
l�entreprise. L�objectif devient l�am�lioration des processus en vue de satisfaire le plus pr�cis�ment et
de fa�on la plus rentable possible les besoins des clients. Devant le succ�s de cette op�ration de large
envergure, Bombardier, Dupont de Nemours, Siemens, entre autres, s�y mettent. Aujourd�hui, le six
Sigma poursuit son d�ploiement en Europe et en particulier en France, o� les entreprises sont de plus
en plus nombreuses � le mettre en �uvre.
Fid�liser et valoriser son capital client est devenu l'enjeu de toutes les entreprises. Mesurer la satisfaction client est une d�cision strat�gique vecteur de progr�s et de d�veloppement.
Management
Source : Yassine EL AMMARI
Le conflit est difficile � d�finir parce qu�il rev�t de nombreuses formes et survient dans des cadres diff�rents. Il semble que le conflit soit, par essence, un d�saccord, une contradiction ou une incompatibilit�. Le terme conflit s�applique � toute situation dans laquelle se trouve des individus ou des groupes dont les objectifs, les cognitions ou les �motions sont incompatibles et les conduisent � s�opposer.
Outils
Source : Damien Ferrazzi
Les 5S est certainement l'un des outils qualit� de la Qualit� Totale � d�velopper en priorit� dans les entreprises. Il s'agit d'une d�marche professionnelle qui ne peut pas s'improviser. Elle a pour objectif des enjeux �conomiques et de progr�s permanent. L'une des premi�res �tapes, sinon la premi�re, doit porter sur la propret� et la bonne organisation des bureaux et des postes de travail dans l'entreprise. Tous les services de l'entreprise sont concern�s, de la prise de la commande � l'exp�dition du produit. Ce serait une faute de consid�rer que seuls les ateliers peuvent et doivent pratiquer cette d�marche. La qualit� d'une entreprise est jug�e par sa client�le � travers sa tenue, son allure, la pr�sentation de son accueil, de son r�seau commercial, de son si�ge social et de la premi�re impression qu'elle donne au travers de l'organisation de ses ateliers.
Outils
Source : Damien Ferrazzi
C'est l'ing�nieur Shewhart qui d�veloppa en 1925 le principe des cartes de contr�le appliqu� � des caract�ristiques mesurables.
Ses recherches, men�es aux �Bell Laboratoires�, le conduisirent � d�finir les limites de contr�le. Les cartes de contr�le sont utilis�es depuis de nombreuses ann�es aux Etats-Unis et en Europe, et cela parce qu'au-del� d'un simple outil de contr�le, leur utilisation apporte des avantages significatifs � la performance des entreprises.
Outils
Source : Damien Ferrazzi
Depuis le d�but du si�cle, de nombreuses m�thodes de travail ont �t� mises en place comme le Taylorisme, Le Fordisme : d�abord des m�thodes qui utilisaient le travail � la cha�ne.
Puis, avec le Toyotisme, on a utilis� des m�thodes partant de la demande du client, il a donc fallu utiliser des outils comme le Kanban pour faire fonctionner ces m�thodes.
Kanban est un mot japonais qui signifie �tiquette, carte. La m�thode Kanban fonde tout son fonctionnement sur la circulation d'�tiquettes. Elle s'est d�velopp�e au Japon apr�s la deuxi�me guerre mondiale. Elle a �t� �labor�e par M. Ohno dans l'entreprise Toyota Motor Company o� elle a commenc� � bien fonctionner d�s 1958. Toujours en application, Toyota continue de faire �voluer l'application du syst�me depuis environ 40 ans.
G�n�ralit�s
Source : Christophe Massare - QCM
Sujet trait�s : �volution du m�tier de Responsable Qualit� ; Missions et r�les du Quality Manager ; Comp�tences.
C�est du constat selon lequel il nous appartient en tant que Qualiticiens de valoriser notre profession aupr�s de nos clients internes et externes si nous souhaitons voir son utilit� reconnue par la soci�t�, que r�sulte cet aphorisme personnel.
Cette valorisation, cette reconnaissance, seules raisons d��tre des professionnels de la qualit�, impliquent une potentialit� � faire �voluer nos acquis, nos pratiques (connaissances � comp�tences � exp�riences), en d�veloppant notre capacit� cr�ative.
Ces exigences dont la fr�quence de r�currence ne fait que cro�tre, appellent de notre part des r�ponses allant bien au-del� du cadre normatif. Ces r�ponses doivent �tre aptes � satisfaire les besoins d�adaptabilit� constante des organisations sur lesquelles nous agissons, pour les pr�parer � faire face aux nouveaux enjeux politiques, �conomiques, sociaux, auxquels elles se trouvent sans cesse confront�es.
Tout ceci nous oblige � prendre le risque de repositionner globalement la profession de Qualiticien dans et hors de l�entreprise, � reconsid�rer les activit�s que recouvre ce titre (ing�nierie � �valuation � formation � conseil�) pour les rendre plus concr�tes, plus coll�giales, plus efficaces, en un mot plus �s�duisantes�.
Risques et s�curit�
Source : Livres � Vivre
Les organisations ont g�n�ralement tendance � sous-estimer les risques et � consacrer ensuite beaucoup d'argent, d'�nergie et de temps � "�teindre les incendies".
Les organisations efficaces ont compris qu'une pr�vention syst�matique des risques leur permet � la fois de mieux fiabiliser leurs prestations et de r�duire les co�ts li�s aux d�faillances impr�vues.
G�n�ralit�s
Source : Christophe Massare - QCM
� Nous y sommes ! j�ai re�u ma date d�audit interne ; tu te rends compte, comme si l�on n�avait pas assez � faire comme-�a, il faut en plus subir un �contr�le� qualit� (L�AUDIT). Heureusement que l�on n�a pas attendu les auditeurs pour bien faire notre boulot �.
Outils
Source : Madeline CAMOIN
Le travail en groupe est efficace et performant
En terme de capacit� � r�soudre des probl�mes, trouver des solutions et produire des id�es neuves
En terme de justesse des id�es (consensus, r�sultats, r�ussite)
En terme de cr�ation du lien social et d �am�lioration des rapports humains
Au sommaire :
1 - Quest-ce qu'un groupe de travail ?
2 - L'�tre humain
3 - Principes de classement
4 - Articulation : Fonctionnement d'un groupe
5 - Le proc�d� en 4 temps de production d'id�es
6 - Points cl�s du travail en groupe
7 - Elements cl�s � retenir
Outils
Source : Livres � Vivre
Dans le monde comp�titif d�aujourd�hui, la satisfaction des clients est la cl� de la r�ussite.
Car un client perdu, c�est d�abord une perte d�image pour l�entreprise. On dit qu�un client m�content en parle � dix personnes, un client satisfait � trois.
C�est ensuite une perte financi�re imm�diate correspondant aux contrats perdus ainsi qu'une perte diff�r�e correspondant aux contrats futurs que ce client vous aurait apport�s. [...]
G�n�ralit�s
Source : Christophe Massare - QCM
Bien avant l��mergence de toute forme d�humanit�, le trait commun � la plupart des organismes vivants �tait d�j� l��volution.
Quelle qu�en soit la nature, qu�elle soit consciente ou non, individuelle ou collective, le ph�nom�ne principal qui la conditionne reste la facult� que d�ploient ces organismes, � s�adapter en permanence, aux n�cessit�s que leur dicte leur environnement.
Cette propension volontaire ou naturelle � l�adaptation, qui consiste � rechercher des r�ponses (solutions) en ad�quation avec des besoins (probl�mes), traduit de fait une certaine forme de qualit�, qui n�est pas toujours ma�tris�e [ ...]
Environnement
Source : Qualit� Online
du concept aux exemples
Sant�
Source : Qualit� Online
Le management de la sant�/s�curit� ne dispose pas de norme internationale -
L'OHSAS 18001 (Occupational Health and Safety management System - specification) semble en effet ouvrir la br�che du consensus. -
Vers une norme ISO de la sant�/s�curit� ...
Environnement
Source : Qualit� Online
- Les normes de la s�rie ISO 14000
- Les points cl�s pour la mise en �uvre de l�ISO 14001 (avec le concours d�Alain JOUNOT, AFNOR)
- La r�vision de l�ISO 14001 : 1996
- L�EMAS
- .....
Outils
Source : Wikip�dia
La gestion de projet est une d�marche visant � structurer, assurer et optimiser le bon d�roulement d'un projet suffisamment complexe pour devoir :
- �tre planifi� dans le temps�: c'est l'objet de la planification
faire intervenir de nombreuses parties prenantes�: c'est l'objet des organisations qui identifient ma�trise d'�uvre et ma�trise d'ouvrage
- responsabiliser le chef de projet ou le directeur de projet, mettre en place un comit� de pilotage
- suivre des enjeux op�rationnels et financiers importants.
L'objectif est d'obtenir un r�sultat conforme � des normes de qualit� et de performances pr�d�finies, pour le moindre co�t et dans le meilleur d�lai possible.
Lorsque la gestion de projet porte sur un ensemble de projets concourant � un m�me objectif, on parle de gestion de programme.
Syst�me qualit�
Source : Qualit� Online
Processus par lequel le d�positaire d'un pouvoir de d�cision transmet l'exercice d'une partie de ses pouvoirs � un de ses collaborateurs.
Le d�l�gataire agit en lieu et place du d�l�gateur qui conserve, dans tous les cas, la responsabilit� finale � l'�gard des tiers.
On peut d�l�guer des pouvoirs, c'est-�-dire une partie de l'autorit� d�tenue, mais pas sa fonction.
De m�me, la responsabilit� , qui est li�e � la fonction, n'est pas d�l�gation.
- La d�l�gation des pouvoirs, c'est aussi un syst�me permettant un certain ajustement entre l'organigramme fonctionnel et le sociogramme fonctionnel en place dans une soci�t�
- Le nombre et l'amplitude des d�s�quilibres entre le profil th�orique d'une fonction et le profil personnel des hommes en place devant �tre limit� au maximum, la d�l�gation des pouvoirs permet de r�soudre partiellement ces probl�mes.
Outils
Source : Qualit� Online
Historique, d�finition et but du SPC. Mise en place, contr�le et loi normale.
Informatique
Source : Temesis
Ce dossier �labor� par temesis.com explique comment d�finir la qualit� des sites web, comment la qualit� d'un service web est per�ue par l'utilisateur, comment concilier attentes des visiteurs et objectifs de la ma�rtise d'ouvrage, ...
Ce dossier � �t� enti�rement r�alis� par Elie Slo�m et Vincent B�nard (Temesis).
Automobile
Source : Qualit� Online
Dans un contexte �conomique et normatif de plus en plus exigeant, il est utile de tenter de r�pondre � une question simple : comment int�grer efficacement les exigences normatives automobiles et notamment celles de l�ISO TS 16949 : 2002 impos�es pour satisfaire les attentes et exigences clients et les exigences internes de rentabilit� ?
Syst�me qualit�
Source : Qualit� Online - Joachim TEIXEIRA
Objectifs Pourquoi s'orienter vers une telle d�marche ? Les apports de la d�marche Les domaines d'acquisitions de l'exp�rience Les �tapes de la d�marche Les �tapes de mise en place de la d�marche
Outils
Source : Qualit� Online
On red�couvre actuellement le grand int�r�t et l'efficacit� des jeux pour la formation et l'enseignement. Par exemple, des jeux pour l'aide � la prise de d�cision sont parmi les m�thodes les plus efficaces pour acqu�rir cette capacit� essentielle : prendre des d�cisions complexes, dans des contraintes serr�es, en prenant en compte de nombreux facteurs contradictoires.
Dans les formes diverses d'apprentissage, les jeux ont �galement montr� leur grande efficacit� pour la m�morisation pure aussi bien que pour la r�flexion ou l'acquisition de proc�dures. Par exemple, l'apprentissage de l'informatique se pr�te tout particuli�rement bien � l'emploi de jeux.
Outils
Source : Qualit� Online
D�finition, Objectifs et Quand utiliser l'analyse fonctionnelle. - Analyse fonctionnelle interne, - Analyse fonctionnelle externe.
Syst�me qualit�
Source : Qualit� Online
Penser processus, c�est accro�tre votre productivit�, gagner des parts de march�, r�ussir vos projets, et c�est enfin orienter tous vos indicateurs cl�s vers la performance : ce dossier d�finit ce qu'on entend par processus, ce qu'il est n�cessaire de savoir : l'identification, l'�tat des lieux, la d�termination des objectifs, le formalisme ...
Outils
Source : Qualit� Online
Principe de la m�thodologie AMDECProcessus : Analyse des modes de d�faillance, de leurs effets et de leur criticit� d'un processus de fabrication (Pr�paration : choix du processus et limite de l'�tude, composition du groupe de travail, pr�paration du dossier. - R�alisation : s�quence de mise en oeuvre.)
Cours de formation et grille AMDEC processus � t�l�charger.
Services
Source : Caroline GUILLIN - URCAM
Enjeux de la qualit� de services, - freins et limites, - moteurs et facteurs cl�s de r�ussites.
Outils
Source : Livres � Vivre
Savez-vous que le co�t des dysfonctionnements de votre activit� peut repr�senter 30% de votre chiffre d'affaire ou plus ? Savez-vous que 95% des erreurs sont imputables � une mauvaise organisation ? Que beaucoup de dysfonctionnements ou de risques inutiles, pris dans le cadre de votre activit� professionnelle, pourraient �tre �vit�s par des mesures simples et peu co�teuses ? Qu'enfin, vous �tes le principal d�tenteur des id�es d'innovation dont votre entreprise a besoin?
Ce dossier a �t� r�dig� par Gilles Barouch, auteur de : Pour am�liorer votre efficacit�. Collection � Les grilles pratiques des entrepreneurs. �ditions Livres � Vivre, 2005.
Outils
Source : Livres � Vivre
Pour prendre du recul, piloter efficacement l'activit� et se d�velopper de fa�on �quilibr�e, les entreprises performantes un tableau de bord �quilibr�.
Cet outil, transpos� et simplifi�, � l'usage des responsables de petites structures, vous permettra de mieux vous d�gager des urgences, de suivre de fa�on fine votre activit� et de mieux planifier votre d�veloppement, tout en r�solvant certains probl�mes qui handicapent votre activit�.
Ce dossier a �t� r�dig� par Gilles Barouch, auteur de : Pour un d�veloppement �quilibr�. �laborer des objectifs et un tableau de bord de suivi, Collection � Les grilles pratiques des entrepreneurs. �ditions Livres � Vivre, 2005.
Outils
Source : Qualit� Online
Principe et m�thodologie de l'AMDEC produit : Analyse des modes de d�faillance, de leurs effets et de leur criticit�.
(Pr�paration : choix du sujet et limite de l'�tude, composition du groupe de travail, pr�paration du dossier / R�alisation : s�quence de mise en oeuvre.)
Informatique
Source : Qualit� Online
Il �tait d'usage de penser � l'assurance qualit� logicielle en purs termes de tests. Dans les projets efficaces, elle englobe d�sormais le travail de test, l'examen technique et le planning du projet...
Sant�
Source : Qualit� Online
Principes de l'accr�ditation COFRAC pour un Laboratoire d'Analyses Biologiques M�dicales : Concept, int�ret, commissions sectorielles du COFRAC, accr�ditation ou certification ?, ...
Sant�
Source : Qualit� Online
Principes de l'accr�ditation ANAES pour les �tablissements de sant� : pourquoi ?, objectifs, activit�s concern�ees, obtention, cons�quences, ...
Outils
Source : Qualit� Online
Pr�parer la d�marche d'autocontr�le : aspect technique/�conomique et humain - Lancer la d�marche : cr�ation d'un groupe de travail, choix du secteur d'exp�rimentation de la d�marche, information du personnel, ... - Mettre en oeuvre l'autocontr�le : �laboration des documents de travail, des enregistrements, formation des op�rateurs ...
Sant�
Source : Qualit� Online
Les int�rets de la qualit� dans la sant�, - L'am�lioration dans le monde de la sant�, - Les plus de l'accr�ditation - Notions de base quant a la mise en place d'un Syst�me de Management de la Qualit�
Outils
Source : Qualit� Online
Pr�sentation des differents outils et m�thodologies du management de la qualit� :
- les outils de premi�res n�c�ssit� (brainstorming, vote pond�r�, qqoqcp, diagramme causes/effet, pareto, ...)
- les outils de deuxi�me n�cessit� (matrice de pond�ration, diagramme de cheminement, Diagramme de GANTT, Arbre de d�cision, ...)
- les outils de troisi�me n�cessit� (Diagramme d'Euler, Diagramme de dispersion, Histogramme de fr�quences, ...)
- les outils de la qualit� des processus de production (Mesure de la dispersion, Histogramme des fr�quences, Droite d'Henry, Les cartes de contr�le, ...), quelques autres outils et m�thodologies (AMDEC
, TPM : Total Productive Maintenance, Roue de Deming ou PDCA, Analyse de la Valeur, 5s, ...)
De nombreux documents � t�l�charger.
Outils
Source : Qualit� Online
D�roulement de la m�thode 8D d�marche de r�solution de probl�me : la constitution de l'�quipe pluridisciplinaire, la description du probl�me, l'identification des actions, l'identification des causes, la d�termination des actions correctives. Fiche de suivi 8D � t�l�charger.
Environnement
Source : Qualit� Online
Historique de la r�glementation environnementale, r�glementation g�n�rales des d�chets, les diff�rents type de d�chets indutriels, le bordereau de suivi des d�chets industriel ou BSDI, les huiles usag�es, les installation class�es pour la protection de l'environnement, la liste des activt�s concern�es, le seuil de d�claration et d'autorisation, les formalit�s de d�claration et de demande d'autorisation, les r�gles sp�ciales pour l'eau et le bruit, les rejets d'eau, les nuisances sonores, les reponsabilit� civile ou p�nale, les pollution des sols, les taxes et redevances
Outils
Source : Qualit� Online
Le travail en groupe est un moyen efficace � la condition d'avoir un minimum de m�thodes accept�e par tous, d'�viter la routine et les habitudes, d'accepter la critique et l'innovation permanente.
Ce dossier d�roule les �tapes n�cessaires pour qu'une r�unions soit efficace.
Dans ce dossier 25 id�es pour am�liorer vos r�unions.
Outils
Source : Qualit� Online
La MSP est un mode de gestion qui conduit � se rendre ma�tre de son outil de production pour satisfaire les besoins du client, en agissant � temps sur les facteurs techniques et humains responsables de la qualit�.
Ce dossier explique le pourquoi de la MSP, ses b�n�fices, ses conditions de r�ussite et sa d�marche dans les grandes lignes.
Syst�me qualit�
Source : Qualit� Online
La m�thodologie audit interne : les principes g�n�raux, la mesure d'un �cart, les diff�rents r�f�rentiels d'audit, les diff�rents types et cat�gories d'audits, la diff�rence entre audit interne et audit externe, le guide d'audit et les �tapes du d�roulement complet d'un audit.
De nombreux documents � t�l�charger : Rapport d'audit propret�, Questionnaire d'audit ISO 9001 version 2000, Questionnaire de satisfaction de projet, Guide et rapport de diagnostic ISO 17025, Ex. 2 de la fiche technique n�12 : Audit op�rationnel, Audit syst�me qualit� - Fiche technique n�15, Ex. de la fiche technique n� 15 - Audit op�rationnel, Evaluation de la supply chain - Fiche technique n�21, Rapport d'audit ISO TS16949 version 2002, Rapport de diagnostic, Audit interne selon ISO 9001 V2000 - Cours de formation, Calendrier des audits internes et fournisseurs, Questionnaire d'audit de poste, Audit process - Cours de formation, Proc�dure audits internes
Syst�me qualit�
Source : Qualit� Online
Points essentiels d'une bonne certification ISO : le choix de l'organisme certificateur (certifcateur accr�dit�, reconnaissance internationale, �coute et disponibilit�, calculs sur le long terme), la pr�paration de l'audit (pr�parez vos dossiers, mobilisez vos salari�s, choyez vos auditeurs), l'audit (Guide accompagnateur, sp�cialiste ISO, avocat), apr�s l'audit (certification r�ussie, certification rat�e, pas d'accord avec l'auditeur, certification maintenue), les organismes certificateurs : liste exhaustive des principaux organismes de certification.
G�n�ralit�s
Source : Qualit� Online
Chronologie et dates cl�s des diff�rentes �tapes du concept de la qualit� depuis la cr�ation du TC 176 par l'ISO en 1979 jusqu'� la r�vision de la norme ISO 9001 en 2000.
Diff�rentes biographies � t�l�charger
: Edwards deming, Armand Vallin
Feigenbaum, Genichi Taguchi, Joseph Juran, Kaoru Ishikawa, Walter A Shewart et un petit dossier sur les prix qualit�.